Coordonnées de l’événement
Vendredi, 18 mars 2011 de 10h à 17h15.
Université du Québec à Montréal, salle A-2885
Colloque gratuit. Aucune inscription requise
PROGRAMME COMPLET
Panel 1 : Contexte — 10h à 12h
Animation : Anouk Bélanger, professeure de sociologie à l’UQAM
Christian Nadeau, professeur de philosophie à l’Université de Montréal : « La démagogie est-elle constitutive du discours de la droite ? Le cas du gouvernement de Stephen Harper »
Anne-Marie Gingras, professeure de science politique à l’Université Laval : « Le contrôle de l’information gouvernementale : jeux politiques et enjeux démocratiques »
Frédérick-Guillaume Dufour, professeur de sociologie à l’UQAM : « Trajectoires coloniales et bestiaires républicains »
Francis Dupuis-Déri, professeur de science politique à l’UQAM : « Le conservatisme de gauche ».
Panel 2 : Regards sur l’histoire et la mémoire — 13h30 à 15h15
Animation : Magda Fahrni, professeure d’histoire à l’UQAM
Frédéric Boily, professeur de science politique à l’Université de l’Alberta (campus Saint-Jean) : « Cartographie du conservatisme au Québec : une perspective historique »
Denyse Baillargeon, professeure d’histoire à l’Université de Montréal : « Réflexions féministes autour du passé conservateur du Québec »
Martin Petitclerc, professeur d’histoire à l’UQAM : « Notre maître le passé ? Réflexions sur une nouvelle sensibilité conservatrice en histoire »
Marc-André Éthier, professeur en didactique à l’Université de Montréal, David Lefrançois, professeur en sciences de l’éducation à l’Université du Québec en Outaouais et Jean-François Cardin, professeur en didactique de l’histoire à l’Université Laval : « Les guerres de mémoire et l’enseignement de l’histoire nationale »
Panel 3 : Le déploiement néoconservateur — 15h30 à 17h15
Animation : Jean-Marc Piotte, professeur émérite de science politique à l’UQAM
Jean-Pierre Couture, professeur de science politique à l’Université d’Ottawa : « Les néoconservateurs dans le “Québec de Weimar” : revues, discours, réseaux »
Diane Lamoureux, professeure de science politique à l’Université Laval : « Néoconservatisme, néolibéralisme, antiféminisme »
Chantal Maillé, professeure en Women’s Studies, Institut Simone de Beauvoir, Université Concordia : « Le débat sur les accommodements raisonnables, l’appropriation du corps des femmes et le racisme vertueux »
Mona Josée Gagnon, professeure associée (titulaire) de sociologie à l’Université de Montréal : « Le syndicalisme attaqué. Forces et faiblesses d’un acteur politique paradoxal »