Alternatives, in collaboration with Québec’s Ministère des relations internationales has organized the ’Urban agriculture in Bamako, a public health approach’ internship project, part of our Quebec Sans Frontiere Program. You can follow our interns presently in Mali by reading our interns’ blog.
Alternatives, in collaboration with Québec’s Ministère des relations internationales ihas organized the internship project: ’Urban Agriculture in Havana, Phase II’ in its Quebec Sans Frontières Program.You can follow our interns presently in Bolivia by reading our interns’ blog.
Une camionnette surchargée d’épis de maïs colorés se fraie un chemin dans les rues bondées du centre historique de Mexico. Derrière, une longue file de véhicules s’étire. La caravane du maïs vient d’arriver dans la grande capitale du Mexique, après une traversée de plus de 300 km. La Place de la Constitution, entourée des bâtiments présidentiels, se prépare à être envahie par des centaines de manifestants en opposition à la libération totale du commerce des produits agricoles. Sous l’immense drapeau national qui bat au vent, une même volonté les anime tous. Ils veulent renégocier l’Accord de
libre-échange des Amériques, l’ALÉNA.
Les médias font souvent l’éloge du statut d’« économie émergente » de l’Inde. Mais à quel prix… et qui paiera la note ?
En vue d’améliorer la compétitivité et la flexibilité non seulement des entreprises mais aussi de l’économie nationale, le gouvernement central a formulé le principe des zones économique spéciales (ZES) en avril 2000. Six ans plus tard, la Loi sur le ZES voyait le jour. Si une entreprise ou un gouvernement d’État veut instituer une ZES, il présente son projet devant un comité d’approbation. Celui-ci approuve ou non, et transfère le dossier au gouvernement national. Une fois le ZES édicté par le gouvernement central, n’importe quelle entreprise — ou particulier — peut s’établir sur la zone économique spéciale.
L’Organisation mondiale du commerce (OMC) apparaît, sans contredit, comme l’institution qui a le plus contribué, depuis son entrée en vigueur en 1995, à la désorganisation des systèmes agricoles et alimentaires dans le monde. L’Accord sur l’agriculture, ainsi que d’autres accords également régis par l’OMC, visent l’instauration d’un système libre-échangiste qui prend le contre-pied de la souveraineté alimentaire.
Une crise alimentaire, c’est du déjà-vu pour Cuba qui l’a vécue dans les années 1990 à la suite de l’effondrement du bloc soviétique et de l’entêtement des États-Unis à maintenir son embargo. À cette époque, les Cubains ont vu leur diète moyenne passée de 3 000 à 1 900 calories par jour. Mais ils ont trouvé un moyen original pour se nourrir : les jardins urbains.
L’Union paysanne (UP) espère obtenir d’ici mars son accréditation d’association professionnelle, ce qui mettrait fin à la mainmise de l’Union des producteurs agricoles (UPA). Le mouvement voué à la défense d’une agriculture à visage humain souhaite que le gouvernement Charest donne suite à la recommandation sur l’ouverture du syndicalisme agricole proposé en février par la Commission Pronovost sur l’avenir de l’agriculture et de l’agroalimentaire québécois.
L’agriculture québécoise montre de plus en plus de cheveux blancs. Pour chaque producteur de moins de 35 ans, ce sont deux agriculteurs de 55 ans et plus qui tiennent les rênes d’une ferme québécoise. Il y a à peine dix ans, le ratio était d’un pour un. Et la relève ne suffit par à colmater le trou laissé par les quelque 1500 fermes qui s’éteignent chaque an dans la province.
Les producteurs agricoles et petits industriels de l’alimentation sont expulsés par centaines des épiceries québécoises ces dernières années. La part du Québec dans la transformation alimentaire canadienne a chuté de 25 % à 20 %. Parallèlement, les importations de produits transformés à l’étranger ont bondi à un milliard de dollars.
La Journée nationale des Autochtones, le 21 juin dernier, était l’occasion de souligner l’héritage culturel que nous ont laissé les Premières nations. L’un de ces legs est une gastronomie bien particulière qui semble lentement regagner ses lettres de noblesse, entraînant avec elle certaines réinterprétations qui ne plaisent pas à tous.
Le sommet de haut niveau sur la sécurité alimentaire de la FAO
(Organisation pour l’alimentation et l’agriculture de l’ONU), s’est terminé
à Rome le 5 juin 2008. Les conclusions de la rencontre n’indiquent pas de
changement de tendance dans les politiques qui ont été appliquées durant
ces dernières années et qui ont conduit à la situation de crise actuelle.
Alternatives, en collaboration avec le Ministère des relations internationales, a mis en plac le projet : "Agriculture urbaine à Bamako, une approche de Santé publique" du programme Québec Sans frontières. Vous pouvez suivre les avancées de la phase outremer de ce projet sur le blogue de nos stagiaires en cliquant ici.
Alternatives, en collaboration avec le Ministère des relations internationales, a mis en place le projet "Agriculture solidaire à la Havane Phase II" du programme Québec Sans Frontières. Vous pouvez suivre les avancées de la phase outremer de ce projet sur le blogue de nos stagiaires en cliquant ici.
More than 350 people have participated at the Alternatives’ Days 2008. The event took place last week-end in Saint-Alphonse-de-Rodriguez. This global solidarity summer school from Alternatives included workshops, debates, and discussions focusing on political and socioeconomic policy at home and abroad. Guests for the United States, South America, Europe, Asia and Africa gave very interesting presentation on various topics such as Aboriginal rights, Development or the US foreign policy.
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