Occupation

Voir également : "Conflits", "Militarisation" et "Réfugiés"

La mémoire au service des luttes et des mouvements est une série de balados produits par la Plateforme altermondialiste et Alternatives et porte sur la lutte antiraciste, féministe et anti-impérialiste.

La jeunesse palestinienne en particulier est fatiguée des promesses rompues et elle ne voit pas la moindre lumière au bout du tunnel ». Ban Ki-moon tient "l’entreprise coloniale" » pour responsable de la tension dans la région. La violence quotidienne au passage de Qalandiya, près de Ramallah - Le 17 décembre dernier, Nasir roulait de Naplouse vers Ramallah. Il pleuvait légèrement comme il approchait du checkpoint militaire de Huwwara. Devant lui roulait une autre voiture, à vitesse prudente. A 50 mètres devant cette voiture se trouvait un véhicule militaire israélien. La prudence (...)

Le 29 novembre prochain, comme à tous les ans, sera célébrée la Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien, tenue par l’Organisation des Nations Unies depuis 1977. Malgré la récente reprise du processus de paix au Proche-Orient et le battage médiatique qui s’en est suivi, la situation des réfugiés palestiniens demeure un sujet trop souvent occulté par les grands médias. Portrait de Mohammad Ali, réfugié palestinien de deuxième génération, qui nous livre sa vision du camp d’Irbid, où il a grandi.

L’été 2013 a été synonyme d’une nouvelle tentative, initiée par les États-Unis, de régler le conflit israélo-palestinien. La reprise des négociations entre Israël et la Palestine a débuté au mois de juillet, avec entre autres la libération de vingt-six prisonniers palestiniens. L’espoir d’une avancée n’a été que de courte durée : peu après, l’État hébreu a annoncé la construction de milliers de nouvelles colonies en territoire palestinien, notamment à Jérusalem Est. À Hébron, en Cisjordanie, les Palestiniens doivent vivre avec la présence de colons israéliens, dont les habitations de béton sont (...)
« Le gouvernement indien essaye de donner l’impression que ce sont les terroristes, les islamistes fanatiques, la cause du problème au Cachemire, alors qu’en réalité, c’est lui ». En ces quelques termes, Parvez Imroz, avocat cachemiri spécialisé depuis plusieurs décennies dans la défense des droits de l’homme, a résumé la pensée de la majorité des Cachemiris et synthétise le cœur du problème actuel du Cachemire indien. Grand homme fin aux joues creusées, on le rencontre dans son modeste bureau de Srinagar, capitale d’été du Cachemire indien, à deux pas de l’affairement de Lal Chowk. D’une voix (...)
Enquête primée par « Projet Censuré » Nous reproduisons ici la première des 25 enquêtes primées par « Projet Censuré » en 2009. Il s’agit du travail de Michael Schwartz, que nous avions diffusé en 2007, et que Joshua Holland, Luke Baker, Maki al-Nazzal et Dahr Jamail ont poursuivi. Plusieurs sources officielles permettent de valider les études des sondeurs d’ORB et des démographes du « Lancet » et d’établir que l’invasion anglo-saxonne et l’occupation de l’Irak ont causé la mort de plus d’un million de civils. Cette information, qui a été relayée par les médias dans les Etats dont les gouvernement (...)
In July 2005, a large coalition of Palestinian civil society groups issued a call for a global Boycott, Divestment and Sanctions strategy (BDS) against Israel until it complied with international human rights agreements and UN resolutions. Calling on people of conscience all over the world, these organizations propose a non-violent tactic similar to that of the African National Congress in their struggle against apartheid in South Africa. Israel’s dual laws for Jewish settlers and Palestinians, the segregation of roads and housing, and restrictions on Palestinians’ freedom of (...)

Five years after President George W. Bush declared "Mission Accomplished" from the deck of the USS Abraham Lincoln aircraft carrier off San Diego, Iraq is in chaos, U.S. troops are mired in a sectarian war, and the entrenched conflict is dragging the nation into a recession.

Le gouvernement israélien a déclenché une guerre contre Gaza en coupant l’électricité, en bloquant les approvisionnements en carburant et en interdisant la livraison de produits essentiels comme de la nourriture et des médicaments.

L’Histoire regorge d’exemples d’occupation d’un territoire par une force étrangère qui tourne au vinaigre. Voici quelques leçons tirées du passé qui explique la déconvenue présente des Américains en Irak.

Les 24 et 25 août, à Montréal, dans le cadre du premier Forum social québécois, les journées d’étude Alternatives recevront une vingtaine d’invités internationaux en provenance de 16 pays. Alternatives a interrogé l’un d’eux, l’économiste israélien Shir Hever, dont les travaux tentent d’évaluer le coût de l’occupation des territoires palestiniens par Israël.

En juin, à Gaza, les combats entre les deux principaux partis palestiniens, le Hamas et le Fatah, ont fait 146 victimes (dont 36 civils) et plus de 700 blessés. Ce désastre constitue malheureusement le dénouement logique de la politique catastrophique menée par la communauté internationale. Notre correspondante en Palestine fait le point.

Depuis des années, la question du Sahara occidental a pratiquement disparu des écrans radars politiques. L’Onu et le monde préfèrent regarder ailleurs.

Alors que l’offensive israélienne dévastait le Liban, la réoccupation de la bande de Gaza, unilatéralement évacuée par les troupes israéliennes l’an dernier, a peu fait la manchette des journaux. Pourtant, durant les 33 jours de l’offensive israélienne au Liban, l’opération « Pluie d’été » a fait plus de 180 morts à Gaza, dont la moitié sont des enfants. Soraida Hussein Sabbah est militante palestinienne. Celle que le Québec avait connue par l’entremise du documentaire Soraida, une femme de Palestine, réalisé par Tahani Rached, était de passage à St-Alphonse-de-Rodriguez le week-end dernier, invitée (...)
HÉBRON - L’endroit ressemble à une ville fantôme. Les rues anciennement animées de la vieille ville sont vides, les commerces fermés tombent en ruines, des militaires à tous les coins de rue. Hevron en hébreu, al-Khalil en arabe : ces deux mots se traduisent par « ami ». Difficile à croire quand on fait le tour de cette ville de Cisjordanie. C’est la seule colonie juive implantée au cœur d’une ville palestinienne. Les Israéliens occupent la vieille ville où l’on retrouve le Tombeau des Patriarches, l’endroit où serait enterré Abraham. Juifs et musulmans reconnaissent l’importance du prophète. (...)

Ramallah, 11-06-06: For a few hours at least, the heart rending images of 12-year-old Huda Ghalia sobbing uncontrollably over the limp body of her father drew the world’s eyes towards the daily tragedy of life in Gaza under continued Israeli occupation.

Les Palestiniens font face à une des pires agressions de leur histoire contre leur droit à l’auto-détermination, leur bien-être économique et leur futur en tant que peuple indépendant. Israël, avec le soutien actif des pouvoirs internationaux et l’accord tacite des autres pays, développe inoxérablement son emprise militaire, politique et et économique sur le peuple Palestinien. Mais les centaines de barrages routiers, la poursuite de la construction du mur de séparation, le blocage des millions de dollars destinés à l’Autorité Palestinienne (AP) et de l’assistance humanitaire ne sont pas (...)

Le peuple palestinien est le plus dépendant de l’aide internationale sur la planète. La décision d’Israël, du Canada, des États-Unis et de l’Union européenne de suspendre leurs transferts de fonds à l’autorité palestinienne, depuis la formation d’un gouvernement du Hamas, a d’ores et déjà provoqué une crise humanitaire sans précédent. Cent soixante mille fonctionnaires palestiniens sont sans salaire depuis trois mois. Les systèmes de santé et d’éducation manquent cruellement de ressources. « L’idée, c’est de les mettre à la diète », affirmait récemment Dov Weisglass, conseiller du premier ministre israélien, Ehud Olmert.

The Palestinian Agricultural Relief Committees (PARC) continues to highlight the prospective catastrophic situations that are expected to prevail in the Palestinian Occupied Territories in the aftermath of freezing foreign aid and tax revenue transfers. Our aim is to contribute to the prevention of a humanitarian catastrophe before it becomes too late to deal with and control its far- reaching consequences on human and economic development in the OPT. PARC finds the assessment report published by the UN Humanitarian Office on April 11 very important, and wishes to disseminate it (...)

Les Soirées Alternatives

En ce début de printemps, nous sommes heureux de vous présenter Les Soirées Alternatives, une série de discussions mensuelles permettant de sensibiliser et d’échanger avec le public sur les enjeux reliés au travail d’Alternatives. Chaque dernier jeudi du mois, notre équipe vous donne rendez-vous dans ses bureaux pour discuter d’une variété de sujets chauds, d’enjeux socio-politiques, économiques et environnementaux, avec la participation d’invités locaux et de partenaires internationaux.

Je ne le cacherai pas : l’image d’Ahmad Saadat en sous-vêtements et les bras levés devant des dizaines de chaînes de télévision m’a personnellement mis en rage. Entre autres parce qu’il s’agit d’un dirigeant politique aimé et respecté, récemment élu au Parlement palestinien. Parce qu’il s’agit du secrétaire général du Front populaire pour la libération de la Palestine (FPLP). Mais surtout parce qu’Abu Ghassan, comme l’appellent ses camarades, est un ami qui m’est cher. Il était détenu dans la prison palestinienne de Jéricho à la suite d’un accord signé et garanti par les USA et la Grande-Bretagne, (...)

Après la moins passionnée des campagnes électorales qu’Israël ait connues au cours des trois dernières décades, les Israéliens viennent d’élire le Parlement le moins polarisé que l’on puisse imaginer. Le fort taux d’abstention (plus d’un tiers de l’électorat) confirme à quel point le public israélien n’a pas considéré ce scrutin comme déterminant. Cela tranche avec les élections précédentes, caractérisées par une atmosphère de guerre civile et polarisées autour des questions liées à l’avenir des territoires occupés et les problèmes de sécurité, réels ou imaginaires.

Gaza est coupé du monde extérieur. Israël s’est redéployé, mais exerce son contrôle à 100% sur le territoire. C’est business as usual. Je pense que l’ouverture du point de passage de Kerem Shalom illustre la tendance. À partir de ce lieu, Israël exerce un contrôle économique total sur Gaza...

Face aux conditions socioéconomiques de plus en plus précaire des populations palestiniennes, aggravées par la construction d’une barrière de sécurité qui obstrue l’accès aux soins et à l’éducation, il est devenu impératif et urgent pour les organisations de la société civile d’améliorer les conditions de vies des familles les plus vulnérables en travaillant sur les conditions d’accès aux services essentiels que sont la santé et l’éducation. De plus, les organisations de la société civile palestinienne s’engagent aussi à poursuivre leurs actions portant sur la lutte à la corruption, la citoyenneté, la (...)
Avec un taux de croissance naturel d’environ 3,7%, la population palestinienne de la Cisjordanie et la Bande de Gaza est estimée à environ 3.800.000 d’habitants dont 1.400.000 habitants dans la Bande de Gaza. Les conditions socioéconomiques des populations palestiniennes suscitent de plus en plus d’inquiétude de la part de la communauté internationale. Plusieurs missions mandatées par l’ONU indiquent une régression spectaculaire du niveau de vie, du niveau d’éducation, et du suivi sanitaire des populations de même qu’une augmentation de la pauvreté et du chômage. Le principal facteur cité (...)
En parcourant la presse israélienne et internationale, on a l’impression que l’hémorragie cérébrale qui a affecté Ariel Sharon aurait eu le même effet, ou presque, que les deux balles tirées par un jeune juif extrémiste ayant coûté la vie à Yitshak Rabin il y a dix ans : la fin d’un processus de paix. L’assassinat de Rabin avait mis un terme au processus d’Oslo, tout comme l’accident cérébral de Sharon mettrait fin à l’engagement du premier ministre envers une paix israélo-palestinienne - un engagement entamé avec le retrait de l’armée israélienne de la bande de Gaza et le démantèlement de quelques (...)

Les bases ethniques d’Israël et la crise de la société israélienne, symbolisée par la « fuite » de nombreux israéliens, sont le fond sur lequel s’opère l’affrontement entre les colons et Ariel Sharon. Un conflit qui efface de la scène politique tout projet de démocratisation de l’état d’Israël. Israélien qui se définit comme « militant antisioniste », Michel Warschawsky est le co-directeur de l’Alternative Information Center.

Le 16 septembre, devant les Nations unies, le président irakien, Jalal Talabani, avouait avoir désespérément besoin de l’aide de la communauté internationale, affirmant que l’Irak n’était pas à la veille d’une guerre civile, mais en plein dedans. De fait, les attentats se multiplient à l’approche du référendum sur la Constitution, devant avoir lieu le 15 octobre. Pour Gilbert Achcar joint à Berlin, spécialiste du Moyen-Orient, une seule chose pourra réussir à stabiliser l’Irak : le retrait complet des troupes américaines.

« Le redéploiement unilatéral de Gaza » a été réalisé avec succès. En moins d’une semaine, les 8 000 rapatriés et les 2 000 supporteurs ont été déplacés de la bande de Gaza, et les bulldozers ont déjà commencé à démolir les maisons d’entraide. Dans Samaria Nord, soit dans la portion nord de la Cisjordanie, la plupart des rapatriés ont déjà quitté leur maison. Dans une semaine, le « redéploiement » sera terminé. Les Israéliens, ainsi que les médias internationaux, avaient prédit des affrontements sanglants entre les rapatriés et l’armée. En fait, ce fut une prestation bien contrôlée dans laquelle l’État, (...)

This summer, the Israeli government intends to redeploy the Israeli occupation forces based in the Gaza Strip as well as to evacuate the 8,500 Israeli settlers who live in 23 illegal colonies which, along with settler-only roads and military installations, take up an estimated 30% of the Gaza Strip’s territory to the detriment of the 1.4 million Palestinian inhabitants of Gaza.

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