Stephen Lewis, the United Nations Secretary-General’s special envoy to Africa for HIV/AIDS, has been an outspoken critic of the United States administration as well as a number of Western and African governments. He has also condemned the policies of the World Bank and the International Monetary Fund for their failure to alleviate the AIDS pandemic in Africa. His views on HIV/AIDS can now be read in his new book, ’Race Against Time,’ which has just been launched. In this extract from the new book, Lewis criticises the way women have been left out of the fight against the HIV/AIDS epidemic in Africa, and blasts the governments that often applaud themselves for their "gender sensitivity."
The Lysistrata Project http://www.pecosdesign.com/lys/, one of the many anti-war actions sweeping the globe, reminds us that women’s opposition to war goes back a long way in human history. While I am glad to see a revival of the ancient comedy of women refusing sex to men if they go off to war, I would a prefer a more modern version of women’s resistance.
The Lysistrata Project, one of the many anti-war actions sweeping the globe, reminds us that women’s opposition to war goes back a long way in human history. While I am glad to see a revival of the ancient comedy of women refusing sex to men if they go off to war, I would a prefer a more modern version of women’s resistance. How about a story where women form a global non-violent army and rise up against the men in power?
« Si on se compare aux femmes québécoises, on est 30 ans en arrière, martèle Michèle Audette, le regard déterminé. Ça fait seulement 10 ans que l’on peut assister au conseil de bande, alors que les Québécoises votent depuis 1940 ! » La présidente de l’association Femmes autochtones du Québec (FAQ) se bat quotidiennement pour le respect des droits des Amérindiennes. Une bataille de longue haleine qui est loin d’être gagnée.
« Avant, les femmes victimes de violence n’osaient pas aller demander de l’aide à la commune. Depuis que j’ai été élue, plusieurs femmes viennent porter plainte contre leur mari », lance fièrement Kol Sokny la nouvelle chef de la commune de Tratch Tong, au Cambodge. Lors des élections locales en février dernier, elle est l’une des femmes cambodgiennes ayant réussi une percée significative dans l’univers très masculin de la politique de ce pays.
Par les temps qui courent, le féminisme souffre du syndrome de Toronto. Il est bien difficile à aimer à haute voix ! Comme jamais, il est devenu chic de soutenir que le mouvement des femmes est franchement off, qu’il a fait son temps, que ses gains ont été é-nor-mes et qu’ils ont causé, par ricochet, pas mal de dommages collatéraux !
Lors de la fin de semaine du 22 février ont eu lieu les États généraux du Québec sur la réforme des institutions démocratiques. Quatre-vingt-dix pour cent des 825 citoyens qui y ont participé ont répondu « oui » à un nouveau mode de scrutin proportionnel, 74 % se sont exprimés en faveur de l’adoption de mesures incitatives facilitant l’accès des femmes à l’arène politique, et 65 % en faveur de l’instauration de mesures semblables pour les communautés culturelles. Ce qui n’est pas pour déplaire à plusieurs féministes qui revendiquent déjà ces réformes afin d’augmenter la participation des femmes en politique.
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