Où que l’on aille en France, ou presque, on les croise désormais sur notre chemin : des collages visant à dénoncer, en lettres capitales, les féminicides, les agressions sexuelles et sexistes, la domination masculine au quotidien. Une manière, pour les activistes anonymes qui les réalisent, de marquer l’espace public et l’esprit des passants et des passantes — au risque, la nuit tombée, de croiser les forces de l’ordre. L’une d’entre elles, impliquée au sein d’un collectif, raconte ici son expérience des collages. Sans ambition de généraliser ni de parler pour autrui, précise-t-elle.
César de Polanski, tribune de Virginie Despentes, manifestation féministe nocturne violemment réprimée le 7 mars, les défilés particulièrement fournis du 8 mars 2020 semblent devoir beaucoup à la brûlante actualité de la lutte pour les droits des femmes. Dans les cortèges, la question des violences physiques et sexuelles est au centre de l’attention. Reportage à Paris.
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