La série Climat de résistance mêle témoignages et réflexions pour observer sur le vif l’élan actuel du mouvement climatique. Quels sont les déclics de prise de conscience autour d’enjeux environnementaux ? Comment des acteurs engagés de différents milieux sont passés à un « plus haut degré » de politisation ? Pour mieux comprendre ce qui se joue dans le monde, les défis sociétaux et planétaires de la question climatique, Climat de résistance rassemble des prises de parole qui racontent une mobilisation plus que jamais déterminante pour l’avenir de l’humanité.
Tout le monde en a entendu parler : depuis le 1er janvier, les frais de garde dans les centres de la petite enfance (CPE) sont passés de 5 à 7 dollars par jour. Mais le débat provoqué autour de l’augmentation des coûts a eu pour effet de passer sous silence d’autres dispositions contenues dans la nouvelle loi 32, adoptée sous le bâillon en décembre. Selon plusieurs intervenants du milieu, c’est toute la vision du réseau des CPE qui est remise en question par le gouvernement Charest.
À 19 ans, la cinéaste Anaïs Barbeau Lavalette s’est acheté un billet d’avion en direction du Honduras. Elle a travaillé là-bas pendant un an dans un bidonville où elle a monté une version du Petit Prince avec 12 enfants. « C’est à partir de ce moment que j’ai saisi l’importance de l’engagement social pour moi. »
Emprisonnement des mineurs de 13 ans dans des Centres éducatifs fermés, suspension des allocations familiales pour leurs familles, création du délit d’outrage à enseignant pouvant entraîner 6 mois de prison, renforcement des sanctions en cas d’absentéisme scolaire (qui devient un délit passible pour 4 demi-journées d’absence dans le même mois de 2000 euros d’amende). Autant de mesures des lois Perben (le ministre de la Justice) qui visent clairement la criminalisation des familles les plus pauvres et signifient le désengagement de l’état et de la société envers les plus démunis.
It is well known that Sub-Saharan Africa is dealing with an HIV/AIDS pandemic that is skyrocketing out of control. But behind the statistics, which show that in some areas one in four people are already infected with the deadly virus, is another problem - those who are left behind. The millions of children struggling to grow up without parents.
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