En poste depuis 2006, Evo Morales, le premier président indigène de Bolivie, a été renversé par un coup d’État. Des débats sur la manière dont cela est arrivé et ce que cela signifie ont proliféré dans la gauche à l’échelle internationale. Ashley Smith a discuté avec Jeffery R. Webber et Forrest Hylton, deux observateurs de longue date de la Bolivie, pour mieux comprendre les problématiques en jeu.
La survie de certains peuples boliviens est intimement liée au maintien de l’équilibre
terrestre. Pour ceux qui se considèrent comme les gardiens de la Pachamama –Mère Nature – l’échec de la conférence de Copenhague peut avoir l’allure d’un matricide, surtout lorsqu’ils voient leurs terres souffrir d’anhydrie.
Pendant que Montréal se débat avec le scandale des compteurs d’eau confiés à l’entreprise privée, les Boliviens peuvent se vanter d’avoir empêché la privatisation de leur réseau d’aqueducs. À deux reprises depuis dix ans en Bolivie, de grandes mobilisations populaires ont réussi à renverser des contrats conclus entre l’État et de grandes entreprises multinationales.
First results show that the new bolivian Constitution was approved by about 60% of the people who voted, that is 3.8 million voters. Around 36% voted against the constitution. The departments where the constitution passed included La Paz, Cochabamba, Oruro, Potosí, Tarija, and Pando. It was rejected in Santa Cruz, Beni, and Chuquisaca.
Des affrontements armés ont finalement éclaté en Bolivie. Le blocage politique entre le gouvernement central d’Evo Morales et les départements autonomistes a débouché sur des violences dans le Pando, qui ont fait une trentaine de morts. Pour faire baisser la tension, l’opposition et le gouvernement se sont entendus pour relancer une autre fois le dialogue. Chronique d’un affrontement annoncé.
Le président Evo Morales a été ratifié à son poste lors du référendum célébré ce dimanche en Bolivie, avec un vote favorable qui fluctue entre les 56,7 et les 60 %, mais son succès s’est aussi étendu à la majorité des préfets de l’opposition, réaffirmés dans leurs charges. Selon les sondages, les préfets de l’opposition de La Paz, Jose Luis Paredes, et de Cochabamba, Manfred Reyes Villa, ainsi que le préfet pro gouvernement d’Oruro, Alberto Aguilar, ont été révoqués.
Alternatives, in collaboration with Québec’s Ministère des relations internationales has organized the internship project: ’Arriba! A new voice for Bolivia’s llama breeders’ in its Quebec Sans Fronitères program. You can follow our interns presently in Bolivia by reading our interns’ blog.
Alternatives, en collaboration avec le Ministère des relations internationales, a mis en place le projet "Arriba ! Une nouvelle voix pour les éleveurs de lamas en Bolivie" du programme Québec Sans Frontières. Vous pouvez suivre les avancées de la phase outremer de ce projet sur le blogue de nos stagiaires en cliquant ici.
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