Angola

La « conférence des donateurs » programmée depuis 2002 par l’Union européenne vient d’être cancellée, soi-disant parce qu’elle « n’est plus nécessaire ».

The prolonged war in Angola had a serious impact on the quality of its schools.There is limited pedagogical material available and during recent years continuous flight from combat zones has limited the ability of parents and teachers to ensure an education for their children. This situation threatens the country’s potential for human development, social dialogue and ultimately, the strength of Angolan democratic institutions. Program ONJILA is set up by Angolan Alternatives and our partner ADRA (Acçao para O Rural Desenvolvimento y Ambient - Action for Rural and Environmental (...)
La guerre prolongée en Angola a eu de sérieux impacts sur la qualité des conditions scolaires, tant au niveau pédagogique que matériel, affectant ainsi les possibilités de développement humain, de dialogue social et du renforcement des institutions démocratiques angolaises. Continuellement en quête de sécurité, fuyant les zones de combat, parents et professeurs ont difficilement pu, au cours des dernières années, assurer une formation scolaire pour leurs enfants. Le programme ONJILA, mis en place par Alternatives et notre partenaire angolais ADRA (Acçao para o Desenvolvimento Rural y (...)
Une grand-mère rappelle à sa petite-fille qu’une mante religieuse s’était posée sur sa poitrine, peu après sa naissance. « La vie va te manger », avait-elle prédit. La vie de la poétesse Lídia do Carmo Ferreira, disparue à Luanda, la capitale angloaise en 1992, sert de prétexte au roman. La poétesse angolaise apparaît comme un point de repère qui permet d’ordonner un chaos, de dire la folie, de comprendre un passé pas si lointain lorsque l’Angola a été déchiré par les idéologies des autres, par un passé marqué par le colonialisme. C’est le fil conducteur d’un roman écrit comme on tisse une (...)

I’m always fascinated by the whispers of African cities: the neighbour’s radio, the rooster crowing in his yard, the market, and the taxi stand.

Je me plais toujours à retrouver le murmure des villes africaines : le transistor du voisin, le chant des coqs de la cour derrière, le marché et la gare à taxis pas trop loin. Mais, après quelques heures à Kuito, sans entendre ni coq ni ndombolo des radios, un charme me manquait. J’aurais quand même pu m’en douter, tant le choc de l’après-midi avait été grand : pas une maison de la ville n’a été épargnée des rafales de kalachnikov. J’ignore si, en trois jours, j’ai vu une vitre qui tenait encore debout. L’eau et l’électricité, après un an d’accalmie, restaient à être rebranchées.

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