ZLÉA

Voir également : "ALÉNA", "Libre-échange", "Commerce", "Économie" et "Néolibéralisme"

Il n’est plus une journée sans que les médias ne rapportent une nouvelle imbécilité du président Trump. Trump ne comprend ni les enjeux nationaux américains ni la politique internationale. Il est misogyne, raciste, islamophobe. Il est contre les droits des travailleurs, contre l’immigration, contre tout ce qui est progressiste ou même rationnel. En fait, en plus d’être dangereux pour les États-unis et pour la planète, Trump est probablement malade, profondément malade, et plus personne ne se gène pour l’exprimer haut et fort. Si à peu près tout le monde s’entend sur ces précédentes (...)
L’ALÉNA fête ses 20 ans cette année. Cet accord commercial entre le Canada, les États-Unis et le Mexique est né dans la controverse. Rien ne semble réglé aujourd’hui : l’ALÉNA suscite toujours des réactions diamétralement opposées. Du côté droit, les élus des trois pays, les patrons et les grands médias ne cessent de louer les avantages de l’entente : une espèce de miracle économique permanent qui aurait multiplié les échanges commerciaux. On donne la parole à quelque entrepreneur sauvé de la banqueroute grâce à l’ALÉNA. On lance des statistiques qui éblouissent : des échanges qui auraient quadruplé, (...)
Les Journées alternatives proposent cette année un retour sur les luttes contre la Zone de libre-échange des Amériques - Québec 2001. Le Panel sera animée par Marcela Escribano qui coordonnait à l’époque le Sommet des Peuples de Amériques. Il y a dix ans déjà, la ville de Québec était secouée par une vague de mobilisation rassemblant plus de 60 000 citoyens venus de tous les coins du continent pour contrer le projet de zone de libre-échange entre les Amériques. Québec 2001 s’est inscrit comme une victoire historique majeure pour les mouvements altermondialistes du Québec, confirmant ainsi aux (...)

Le IVe Sommet des Amériques aura lieu les 4 et 5 novembre 2005 en Argentine à Mar del Plata. Réunissant les 34 chefs d’États des Amériques élus démocratiquement, ce Sommet cherchera - théoriquement du moins - à symboliser une avancée majeure dans les politiques visant à améliorer la qualité de vie des peuples de l’hémisphère. Sur le thème de « créer des emplois pour combattre la pauvreté et renforcer la gouvernance démocratique », les dirigeants des Amériques vont alors tenter de définir des politiques hémisphériques allant dans ce sens, l’aura de la ZLÉA moribonde les inspirant sûrement.

C’est à Mar del Plata, en Argentine, qu’aura lieu, les 4 et 5 novembre prochains, le 4e Sommet des Amériques. Cet événement, qui réunit les chefs d’États et de gouvernements des pays des Amériques - à l’exception de Cuba -, devait initialement confirmer la création de la Zone de libre-échange des Amériques (ZLÉA). Mais quatre ans après le 3e Sommet des Amériques tenu à Québec en 2001, voilà qu’il sera plutôt question de démocratie et d’emploi. Cette mise au rancart de la ZLÉA oblige le mouvement altermondialiste à réfléchir sur le sens à donner à son action. Rappelons qu’en 2001 à Québec, au cours du (...)

IIIe Sommet des Peuples et mobilisations à Mar de Plata (Argentine) du 1er au 5 novembre 2005

Dans un discours prononcé à l’inauguration du Congrès de l’Organisation régionale interaméricaine des travailleurs (ORIT), le Président du Brésil a déclaré que « le projet de création d’une Zone de libre-échange pour les Amériques (ZLEA) ne faisait plus partie de la discussion au Brésil ». « Ce qui est prioritaire pour nous a-t-il dit est l’intégration latino-américaine.

Dix ans après la signature de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA), la population canadienne est en droit de se questionner sur les bénéfices de cette entente commerciale.

Depuis dix ans, les organisations de la société civile d’Amérique du Nord n’ont sans doute pas accordé à la question de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA), signé il y a dix ans, toute l’attention qu’elles ont consacrée au projet de Zone de libre-échange des Amériques (ZLÉA) et aux négociations en cours à l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Récemment, lors d’un colloque organisé par le Réseau québécois sur l’intégration continentale en présence de 400 invités du Québec, du Canada, du Mexique et des États-Unis, les participants ont pourtant tracé un bilan assez critique de cette (...)

Le Réseau Québécois sur l’Intégration Continentale (RQIC), en collaboration avec Common Frontiers Canada, RMALC, ART et l’ASC, a le plaisir de vous inviter au Colloque tri-national Les 10 ans de l’ALÉNA : bilan social et perspectives qui se tiendra à Montréal, Québec, Canada, les 17, 18 et 19 septembre 2004.

Il y a quelques semaines avait lieu à Ottawa la dixième ronde de négociation de l’Accord de libre-échange entre le Canada et l’Amérique centrale (ALÉAC4), un traité économique à conclure avec le Guatemala, le Nicaragua, le Honduras et le Salvador. Le Conseil canadien pour la coopération internationale (CCCI) craint qu’il ne s’agisse d’une façon de « faire passer la ZLÉA [la Zone de libre-échange des Amériques] par la petite porte ».

Le Sommet extraordinaire réunissant les 34 chefs d’État et de gouvernement des Amériques tenu à Monterrey, au Mexique, les 12 et 13 janvier, n’a atteint aucun des objectifs fixés au départ. Pour saisir l’ampleur de cet échec, il faut revenir sur le contexte de la convocation de cette rencontre et sur les résultats attendus.

Les ministres du Commerce se rencontreront les 21 et 22 novembre à Miami pour discuter du projet de Zone de libre-échange des Amériques (ZLÉA). Au même moment, le Réseau québécois sur l’intégration continentale (RQIC) présentera les résultats de la consultation publique, lancée il y a maintenant un an, afin de faire valoir le point de vue de la population québécoise sur les enjeux liés à la ZLÉA.

Pendant que les yeux sont tournés vers l’Irak et sa reconstruction, les discussions progressent à la table de négociation de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Une étape importante a récemment été franchie vers l’ouverture des marchés dans le domaine des services.

À l’approche des élections provinciales, le débat sur la mondialisation et l’intégration économique n’a pas lieu, la guerre en Irak occupant toute la place sur la scène internationale. L’heure juste sur la position des différents partis politiques vis-à-vis le libre-échange.

La mer et le ciel sont bleus, la Havane toujours aussi jolie, malgré le dépérissement de ses magnifiques immeubles. Ce qui lui confère une atmosphère de douce nostalgie. Malgré quelques jours d’angoisse, passés à appréhender un autre ouragan, qui finalement n’a fait que passer aux larges des côtes avec quelques bourrasques pour l’île, la vie se prend comme elle vient. Nos amis cubains continuent leur travail d’organisation communautaire tout en se préparant à accueillir les militants des quatre coins des Amériques.

« Un autre monde est possible, mais encore faut-il s’en donner les moyens », a lancé Emilia Castro, vice-présidente du Conseil central de la CSN (section Québec-Chaudière-Appalaches) et porte-parole de la Coalition régionale des femmes contre la violence et la pauvreté, lors du Forum social régional (FSR) de Québec et Chaudière-Appalaches. Un pari remporté.

C’est le 30 octobre qu’a été lancée la consultation populaire québécoise sur la Zone de libre-échange des Amériques (ZLÉA). Orchestrée par le Réseau québécois sur l’intégration continentale (RQIC), cette consultation vise à sensibiliser la population aux impacts de cet accord économique continental et à connaître son avis sur la question.

En proposant la tenue d’une grève continentale contre la ZLÉA le 31 octobre prochain, les mouvements étudiants québécois et canadiens revendiquent le droit de dire non à la ZLÉA.

Du 7 au 10 septembre dernier, plus de 10 millions de Brésiliens et Brésiliennes ont voté lors d’un référendum populaire portant sur la ZLÉA. 98 % d’entre eux ont dit NON.

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