Voir également : "SIDA"
Selon le psychiatre auteur de cette tribune, une approche démocratique de la pandémie est possible. Dans sa vision, tous resteraient égaux devant la médecine et leurs doutes ne seraient pas méprisés. En revanche, l’enrichissement de l’industrie pharmaceutique et l’emploi de l’argent public seraient scrutés, et mis en balance avec l’urgence climatique.
Avec plus d’un million et demi de cas et plus de 100 000 décès recensés, les États-Unis paient un lourd tribut à la COVID-19. Mais la crise sanitaire révèle surtout un pays miné par les inégalités, profondément ségrégué, où le rêve américain ne semble plus qu’un lointain souvenir. Et si la première puissance mondiale entrait dans une phase d’appauvrissement généralisé sans précédent ?
La Tunisie se prépare au déconfinement avec un système social à bout de souffle. Certes le gouvernement a réussi à contenir l’épidémie et ses conséquences avec des mesures d’urgence. Mais les infrastructures publiques et de santé sont fragilisées par la politique menée sous Ben Ali, particulièrement dans les régions de l’intérieur et les quartiers populaires. Face aux inégalités sociales comme territoriales, un nouveau mouvement de contestation pourrait voir le jour.
La crise alimentaire de 2008 a relancé le débat sur les biotechnologies, censées accroître la productivité de l’agriculture africaine. Mais, comme leurs homologues altermondialistes occidentaux, les paysans du continent noir se méfient des conséquences sanitaires et sociales des organismes génétiquement modifiés. Le semencier américain Monsanto a donc décidé d’employer les grands moyens pour les imposer, avec l’aide du président burkinabé Blaise Compaoré. La résistance s’organise.
Grâce au travail de Mobilisation Enfants du monde et de sa relationniste humanitaire, des cardiologues québécois sont allés au Maroc en 2006, et une équipe de chirurgie plastique de l’Hôpital Sainte-Justin est rentrée avant Noël du Burkina Faso. Soixante-deux enfants y ont été opérés en quinze jours.
La santé est un service qui doit être accessible pour tous. Alternatives se joint à de nombreux individus, groupes sociaux et personnalités québécoises dans le cadre de la campagne Santé sans profit et dit NON à la privatisation du système de santé.
Petite révolution en Afrique du Sud : la ministre de la Santé, Manto Tshabalala-Msimang, largement discréditée pour ses positions pour le moins ambiguës sur le VIH-Sida, s’est vue retirer le dossier de la lutte contre le sida. Les militants séropositifs ont applaudi la décision du gouvernement Mbeki, mais réclament toujours plus de moyens pour contrer la pandémie.
Malgré le portrait autoritaire qu’en font les médias du Nord, un récent sondage de la North American Opinion Research donne actuellement à Hugo Chávez 66 % des intentions de vote en vue des élections présidentielles qui auront lieu en décembre prochain au Venezuela. Les nombreux programmes sociaux mis en place par le chef d’État vénézuélien ne semblent pas étrangers à cette grande popularité. Visite des quartiers défavorisés de Caracas.
Stephen Lewis, the United Nations Secretary-General’s special envoy to Africa for HIV/AIDS, has been an outspoken critic of the United States administration as well as a number of Western and African governments. He has also condemned the policies of the World Bank and the International Monetary Fund for their failure to alleviate the AIDS pandemic in Africa. His views on HIV/AIDS can now be read in his new book, ’Race Against Time,’ which has just been launched. In this extract from the new book, Lewis criticises the way women have been left out of the fight against the HIV/AIDS epidemic in Africa, and blasts the governments that often applaud themselves for their "gender sensitivity."
25 juillet 2005 - « Les femmes et les filles, une espèce en voie de disparition » : cette formule effrayante reflète pourtant la vérité en Afrique, dans les Caraïbes et en Asie en raison des ravages du sida, a déclaré l’Envoyé de l’ONU sur le VIH/sida lors d’une conférence internationale à Rio, où il a plaidé pour la création d’une agence internationale qui réponde aux besoins spécifiques des femmes.
Caracas: In most places, the word globalisation conjures up images of businessmen and corporate consultants on six figure salaries making offers that governments cannot refuse. But in Nuevo Horizonte, a vast barrio, or slum, strung out like dirty linen high above the Venezuelan capital, globalisation means Martha Perez Miranda, a smiling 50-something Cuban dentist, who fixes poor folks’ teeth for free.
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