Voir également : "Néolibéralisme", "Libre-échange" "Commerce" et "Économie"
La lutte pour le contrôle des ressources minières en République démocratique du Congo (RDC) n’est pas étrangère aux nombreux conflits armés qui secouent ce pays d’Afrique centrale depuis la chute du régime Mobutu. Entre 1998 et 2004, le nombre de morts reliés aux conflits et à leurs conséquences est estimé à quatre millions d’individus, essentiellement des civils, d’après une étude récente publiée dans la revue The Lancet. Alors que les premières élections démocratiques sont prévues pour juin prochain, une réflexion sur la gouvernance et le secteur minier congolais s’impose.
Multinationale pétrolière et forestière, la compagnie Irving a depuis quelques années diversifié ses activités en acquérant de nombreux journaux au Nouveau-Brunswick. Les trois quotidiens de langue anglaise de la province sont aujourd’hui sous son contrôle. Une situation dangereuse autant pour la diversité de l’information que pour la liberté d’expression, déplore plusieurs observateurs.
Gordon Brown has a new idea about how to “make poverty history” in time for the G-8 summit in Scotland. With Washington so far refusing to double its aid to Africa by 2015, the British Chancellor is appealing to the “richer oil-producing states” of the Middle East to fill the funding gap. “Oil wealth urged to save Africa,” reads the headline in London’s Observer.
Des élections législatives se dérouleront le 5 avril en Indonésie. Un peu plus tard cette année, la population élira son président pour la toute première fois. Mais la stabilité politique et démocratique du pays est loin d’être gagnée. Alors que le terrorisme est souvent présenté comme étant l’un des principaux problèmes auxquels est confrontée l’Indonésie, ce serait plutôt le jeu des puissances militaires et des intérêts commerciaux étrangers qui représenteraient les plus grandes menaces à la stabilité du pays, selon plusieurs observateurs locaux.
Au cours des deux dernières années, les fermetures d’usines, les pertes d’emplois et les conflits se sont succédés au Sagnenay-Lac-St-Jean. Le 10 mars, 3 000 personnes marchaient solidairement aux côtés des travailleurs de l’usine Abitibi-Consolidated de Port-Alfred, mis à pied en décembre. Ils ont exprimé leur désaccord avec les politiques néolibérales qui concentrent les richesses dans les grands centres et dépouillent les régions. Résolument décidés à ne pas se laisser appauvrir davantage, les habitants de cette région - qui détient le plus haut taux de chômage au Canada - proposent des solutions et réclament l’attention des élus.
Waiting in the lobby of Jakarta’s World Trade Centre (WTC - pronounced Way-Tay-Say in Jakarta), the building that houses the Canadian Embassy to Indonesia, I heard jeers and chanting outside the front doors. A small but vocal group of protesters from rural villages on the island of Sulawesi and members of environmental NGOs had gathered to protest the actions of Canadian nickel mining giant INCO.
Massés sur les autoroutes du pays, bloquant la frontière entre le Mexique et le Guatémala, les paysans du sud-est mexicain tentent de résister aux projets de développement d’infrastructures de leur gouvernement. La plupart d’entre eux n’ont appris l’existence du Plan Puebla Panama (PPP) qu’au moment où ils ont été expropriés de leurs terres, qu’ils ont perdu toute autonomie ou qu’ils ont appris que leurs principales ressources stratégiques allaient être privatisées. Il n’en fallu pas plus pour que les regroupements sociaux s’organisent pour faire entendre leur voix.
La compagnie minière canadienne Noranda s’apprête à troquer plus de deux milliards de dollards d’investissements en échange de la contamination et de la destruction de l’une des zones les mieux préservées de l’écosystème du Chili. L’environnementaliste chilien, Peter Hartmann, était récemment à Montréal pour partager ses inquiétudes à l’égard du projet Alumysa, qui selon lui est aussi peu avantageux sur le plan économique qu’écologique.
À l’heure de la globalisation, le contrôle des ressources en eau est devenu un enjeu économique majeur pour les grandes firmes transnationales, comme Vivendi-Générale des eaux et Suez-Lyonnaise, qui se sont accaparés près de 40 % du marché mondial de l’eau, et réalisent des profits énormes sur le dos de plus 200 millions de consommateurs. L’exemple du Niger.
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