Voir également : "Aide humanitaire", "Aide internationale" et "Coopération internationale"
Le 8 octobre, un puissant tremblement de terre frappait l’Asie du Sud et particulièrement un coin de terre marqué par l’histoire et le drame : le Cachemire. L’ensemble de ce territoire a été durement atteint, mais c’est dans la partie pakistanaise du Cachemire que les dégâts ont été les plus terribles, avec plus de 50 000 morts et plus d’un million de personnes qui ont perdu jusqu’à leur maison. L’hiver approchant, on peut imaginer les conséquences à venir pour cette région située au pied de l’Himalaya.
Récemment, la crise qui traverse le Soudan est revenue sur le devant de l’actualité internationale. Dans l’ouest du pays (région du Darfour), des milliers de personnes meurent en raison de la guerre et de la famine. L’ONU et l’Union africaine veulent s’impliquer... Et le Canada pourrait également aider...
La majorité des Haïtiens et de ceux et celles qui ont travaillé avec eux célèbrent la fin d’un régime déliquescent, imprévisible et violent, responsable de graves exactions et de constantes violations des droits humains. Mais les conditions dans lesquelles s’est fait ce qu’il faut bien appeler un coup d’État laissent perplexes et inquiets par rapport à l’avenir du pays.
Alors que les attentats éclatent à un rythme croissant en Irak, le monde entier retient son souffle. Jusqu’où ira-t-on dans cette dérive d’anarchie et de violence ? De toute évidence - et même Colin Powell l’admet - Washington est complètement dépassé par les évènements. Pire encore, le gouvernement américain s’enferme dans une logique infernale, en refusant de donner la main aux Nation unies mais en demandant de l’aide aux « alliés ». Les États-Unis ont enregistré un autre échec sérieux lors de la conférence de Madrid, la semaine dernière.
En août 2002, le gouvernement américain a distribué 6,6 millions de dollars à différentes organisations non-gouvernementales (ONG) afin de mettre sur pied des projets d’aide humanitaire en l’Irak. Jusqu’à maintenant, aucun travail n’a été réalisé sur le terrain. L’obstacle : le département du Trésor américain.
À quelques semaines du sommet de Kananaskis en Alberta, où les pays membres du G8 entendent apporter une réponse au document du Nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique (NPDA), il est impérieux de s’interroger sur ce que contient cette offre que le président de la Banque mondiale, James Wolfensohn, a jugé d’une « énorme importance pour chaque habitant de la planète ».
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