Labour brokers are quickly becoming common practice in the south african workforce. This system opens the door wide open for exploiting workers, sexual harassment, and intimidation. In this video, workers who are directly employed by labour brokers speak frankly about the issues and problems associated with this system.
Ce film tente de tracer un portrait de la situation en mai 2008 en Afrique du sud alors que des immigrants, principalement venus du Zimbabwe, se sont fait chasser par des gestes de violence. Les émeutes qui ont suivi avaient lieu sous prétexte que les Zimbabweens volaient les femmes, les droits aux logements et les emplois des Sud Africains. L’histoire est racontée parallèlement par des images "sur le terrain" et par l’entremise des médias.
Avant de démissionner de son poste de président de l’Afrique du Sud à la fin septembre, Thabo Mbeki a eu droit à une bonne nouvelle du Zimbabwe. Sa médiation entre le parti du président zimbabwéen Robert Mugabe et l’opposition de Morgan Tsvangirai (le MDC) a porté fruit. Les deux rivaux ont accepté de partager le pouvoir et de se diviser les postes de ministres au cabinet. Une question demeure : pourquoi Mbeki a-t-il laissé la situation se détériorer au Zimbabwe au point où la Banque mondiale considère l’Irak comme un endroit plus accommodant pour faire des affaires ?
La sous-traitance devient rapidement une pratique d’usage dans le monde sud-africain du travail. Ce systèeme laisse la porte ouverte à l’exploitation des travailleurs, le harcèlement sexuel et l’intimidation. Dans ce vidéo, des travailleurs employés par des compagnies de sous-traitance parle franchement des problèmes reliés à ce système.
Sara Brunelle,
intern in Johannesburg, South Africa
The following text is an excerpt from a much longer one written by the intern :
[…] I have been tracking down Ethiopians in my neighborhood ever since I returned [to Johannesburg]. Living in the center of Pan African Yeoville, this task isn’t very difficult, I found quite a few at the local Rasta club, and though everyone there is wearing red-green-yellow, Ethiopians distinctively dance only in the shoulders. They get a real laugh when I show up from nowhere saying « hello, how are you », and « what is your name » in Amaharic. But because of this, I now have the fortunate opportunity of hanging out in traditional Ethiopian coffee houses right here in my own neighborhood ! Which is fantastic because Ethiopian coffee is so delicious.
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